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“Si j’étais le président...(2894)

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«Je commencerais par une reforme en profondeur de notre administration publique. Car je suis convaincu que sans une administration performante, le pays restera toujours à la cas départ. Surtout j’opterais pour une initiative  de renouvellement de génération. C’’est-à-dire former des jeunes pour prendre la relève des vieux de plus de 40 ans. Notre administration a besoin de sang neuf, d’une nouvelle expertise en adéquation avec l’évolution du monde.  Donc, moi président, je miserais sur nos jeunes talents pour faire avancer les choses car l’administration c’est le cœur d’un pays. Deuxième chose,  j’ouvrirais  les portes à tout  operateur économique qui veut venir faire des affaires dans le pays, quitte à lui accorder une période d’essai de 6 mois en lui réduisant les impôts».

Salim Rabiou, ancien agent d’escale à Yemenia Airways à Moroni

 

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«La stabilité dans la fourniture de l’électricité et le bon état des routes  seraient ma première priorité. Ces infrastructures là sont un préalable pour espérer attitrer des investisseurs dans ce pays.  Je mettrais en œuvre une politique pour fructifier l’apport de la diaspora comorienne qui se trouve partout dans le monde. il ne s’agirait pas seulement de l’apport financier, qui rend beaucoup de comoriens dépendants de l’extérieur, mais surtout de l’expertise des enfants issus de cette diaspora.  Enfin, je m’engagerais personnellement à aider ceux qui veulent apprendre. C’est-à-dire les étudiants qui se demarquent des autres avec leur courage et talent. C’est eux l’avenir des Comores».

Nadel Rama, étudiant à la faculté Degs département de sociologie de l’Université d’Antananarivon, Madagascar