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“Si j’étais le président...(2896)

Le .

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"Notre pays a trop à faire, mais je  commencerais par l’éducation, en pérennant en charge les enfants et l’éducation de base. Plus de 20% des enfants comoriens ne sont pas scolarisées à cause des moyens financiers très bas des  parents. Beaucoup d'entre eux essaient de se prendre en charge en vendant des sachets, des pistaches, des yaourts pour s’autofinancer dans les études. Ensuite, je m'attaquerais au chômage des jeunes, en général, et des diplômés, en particulier. Cela doit aller en parallèle avec une facilitation des besoins de la vie de tous les jours : santé, électricité et routes."
 
Ahmad Bilal Tania, diplômée en tourisme et hôtellerie

 

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" Je commencerais par ouvrir la porte aux investisseurs étrangers aux Comores, afin d’inciter la concurrence. C'est qui favoriserait l'offre de bons services aux usagers et réduirait le chômage. Avec le travail pour tous, le comorien aura l’espoir de vivre dans son pays. Deuxième priorité, ce serait d’accompagner les agriculteurs et améliorer leurs méthodes de travail. Pour cela je leur donnerais toutes les opportunités nécessaires pour leur réussite. Cela va à l'octroi de prêts bancaires à taux d’intérêts minimes à l'accompagnement par des experts. En un mot, je donnerais espoir aux Comoriens et combattrais la famine, priorité absolue de mon peuple. Je suis persuadé que ces deux facteurs seront le début d’un changement "comm’or" des Comores."


Zakaria Maoulida, Chargé du Programme et formation, Corps de la Paix