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Lycée de Moroni après les intempéries du 25 janvier : Entre désolation et interrogations

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 Par Abdallah Mzembaba

 

 

 Depuis la météo exécrable du lundi 25 janvier, les conditions de travail, déjà difficiles, ont empiré. Désormais, une bonne partie des élèves doivent s’entasser dans des… tantes où l’on est, tour à tour, «cramés, trempés et secoués» et où, parfois, on a du mal à s’entendre parler. Des efforts sont entrepris pour que le «lycée de référence» retrouve une situation normale.A ce propos, aussi, une controverse s’est faite jour.

 

Un peu plus d’une semaine après les intempéries du 25 janvier dernier, le Lycée Saïd Mohamed Cheikh de Moroni (Lsmc) peine à reprendre ses habitudes. Il faut dire que toute la toiture du bâtiment abritant toutes les classes de première et une partie des terminales a été essoufflée. Sur dix salles au total. On a du transférer une partie des élèves dans les laboratoires. Les autres doivent se contenter, après cinq jours de repos forcé,de faire cours dans des tantes d’infortunes installées sur le terrain de basket-ball par la direction générale de la sécurité civile (Dgsc). Trois tantes synonymes de trois salles de classe.

 

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